🤝 Aujourd’hui, une étape cruciale a été franchie dans notre lutte. Le Comité de négociation du Secteur Laurentien et l’Employeur se sont rencontrés au Complexe Guy-Favreau, à Montréal, avec la présence bienveillante de médiateurs. 🕊️ En parallèle, le cœur battant de notre mouvement, nos vaillants membres en lock-out et le Comité exécutif, se sont rassemblés dans un esprit de solidarité devant le Complexe. Certains ont même entrepris le voyage depuis Gatineau dès l’aube pour marquer leur soutien inébranlable. 🌅✊

Malgré le huis clos des négociations, notre unité brille au grand jour. L’attente du dénouement est à son comble, mais notre détermination ne faiblit pas. Patience et solidarité sont nos maîtres-mots.

🔍 Mais attendez… un mystère éclairci ! Vous avez peut-être entendu parler de l’incident alimentaire survenu lors de la manifestation. Un aliment mystérieux a été lancé par un inconnu sur l’un de nos confrères. 🥐🥪 Après enquête et en tant que témoin de la scène, je peux enfin lever le voile. J’ai entendu plusieurs versions : ce n’était ni un croissant, ni un sandwich… c’était un strudel ! Que dire de ce lanceur culinaire qui croyait nous faire peur avec son strudel…

Mais l’essentiel reste notre combat. Alors que la manifestation se tenait à Montréal, nos camarades à Gatineau n’ont pas failli à l’appel et ont tenu la ligne de piquetage avec une détermination sans faille. La solidarité ne connaît pas de frontières, et chaque action, chaque soutien, renforce notre unité. 🚩

C’est dans ces moments que notre solidarité prend tout son sens. Restons soudés, motivés, et tournés vers l’avenir. Nos efforts communs nous mèneront vers la victoire!

Ensemble, nous sommes le SEVL! ✊

📢✊ Alerte Solidarité! 📢✊

À la demande de nos camarades du secteur Sociétés d’État et organismes publics québécois du SCFP-Québec, nous avons uni nos forces à Gatineau! 🤝💪 Nos consœurs et confrères en lock-out ont apporté leur soutien indéfectible aux membres du Syndicat des professionnelles et professionnels de la Société québécoise des infrastructures (SPSQI), le SCFP-5522, actuellement en pleine action pour faire entendre leur voix. 🗣️👥

Ces travailleuses et travailleurs sont sans contrat depuis 4 longues années. 😟⏳ La manifestation s’est déroulée avec conviction devant l’immeuble de Services Québec à Gatineau, envoyant un message fort : « le lock-out n’est pas encore terminé chez Vidéotron. » 🏢🚩✊🔊

Les gens à l’intérieur de l’immeuble de Services Québec se sont sûrement demandés 🤔 pourquoi il y avait une manifestation de Vidéotron dehors, devant leurs bureaux. Quelle manifestation étrange… 🏢✊💼📺

Lâcher pas la gang! 🚀 Même si notre présence dérange, même si notre voix secoue, nous continuerons de militer, de faire du bruit et de défendre notre dignité. 🔊👊

Ensemble, nous sommes le SEVL! ✊

🔒🚫 En attendant la réalisation du suivi rapproché de la négociation dans les prochains jours par les parties concernées, le lock-out continue devant les boutiques Vidéotron de la région de Gatineau. 🏪

👕 Avec leur chandail sur le dos, un drapeau 🚩 à la main et au son des trompettes 🎺, nos consœurs et confrères restent debout et solidaires, dans l’espoir que le lock-out prenne fin bientôt. ✊🤝

📢 « Les membres du SEVL-SCFP-2815 veulent en savoir plus! » 🤓💡

Lock-out et francisation : Pourquoi n’existe-t-il pas de terme français ?

L’absence d’un équivalent exact à « lock-out » en français résulte des influences culturelles et historiques sur la langue, particulièrement dans le travail et les relations industrielles. Ce terme, désignant la fermeture d’un lieu de travail par l’employeur pour pressuriser les employé(e)s, n’a pas de correspondance directe en français à cause de l’usage globalisé de certains termes anglais et de l’influence anglo-saxonne. Bien que « fermeture patronale » soit parfois utilisé, « lock-out » prévaut, reflétant la tendance à adopter des termes anglais pour des concepts spécifiques ou nuancés. Cela souligne l’évolution de la langue française et son adaptation face aux changements culturels et économiques.

Selon l’Office québécois de la langue française (OQLF) : L’emprunt à l’anglais lock-out est aujourd’hui bien implanté dans toute la francophonie. Divers termes français ont été proposés pour le remplacer, comme condamnation d’accès, contre-grève ou cadenas, mais ils ne sont pas entrés dans l’usage.